Monday 29 April 2013

A very quick and efficient diet, which will help you lose weight and freshen up your body. The
main product featured in this diet is the pumpkin. If you are not very familiar with it and its many
qualities, it is time to try it. Pumpkins are mineral and vitamin rich and they work as a natural
antioxidant. The 7-Day Diet is not difficult to follow, however it is a proven method to quickly get
rid of a few kilos. Every morning you should drink a cup of green tea (without sugar) for breakfast. If
you feel hungry until lunch, drink lots of water. Unlike many other diets, which claim the breakfast is
most important of all, this 7-Day Diet tries the reverse procedure. Start eating at lunch!
Day 1
Lunch: pumpkin omelet, steamed fish and a fruit (depending on the season)
Dinner: Carrots salad, grilled chicken and yoghurt
Day 2
Lunch: Tomato salad, grilled shrimps and crab rolls, yoghurt
Dinner: Pine apple salad, tuna, vegetable omelet and tea.
Day 3
Lunch: Apples, Ham on toast, beans, yoghurt
Dinner: Chicken soup with rise, yoghurt
Day 4:
Lunch: Vegetable soup, mackerel, cheese on toast, hoeny
Dinner : Fresh cabbage salad with jacked potatoes, boiled eggs, fruits
Day 5
Lunch: Apple salad, fish, strawberries and grapefruit juice (freshly squeezed)
Dinner: Baked potatoes with onion, peppers omelet, kiwi
Day 6
Lunch: Pumpkin cream-soup, mince deli, lemons
Dinner: Sweet corn salad, cheese , yoghurt and baked pumpkin with milk and honey
Day 7
Lunch: Carrot salad, rise, tuna/salmon in a tin, white meat, preferably baked or boiled
Dinner: Freshly squeezed carrot juice, grilled fish with potato salad, yoghurt

Hamid Karzaï reconnaît que la CIA a versé de l'argent à la présidence

Hamid Karzaï à Kaboul, le 12 juin 2012.
Hamid Karzaï à Kaboul, le 12 juin 2012.
REUTERS/Mohammad Ismail

Par RFI
Dans un article publié ce lundi 29 avril 2013, le New York Times révélait que la CIA aurait secrètement livré, pendant des années, des dizaines de millions de dollars en liquide aux services du président afghan, Hamid Karzaï. Ce dernier a lui-même reconnu les faits aujourd’hui, en tentant toutefois de minimiser les révélations de l’article.

Hamid Karzaï a bien reconnu que le Conseil national afghan avait reçu de l’argent de la CIA ces dix dernières années. Mais, précise le président afghan, les sommes n’étaient pas bien importantes. Il ne s’est pas exprimé sur les accusations de corruption contenues dans l’article, expliquant que cet argent avait permis « d'effectuer des opérations, aider les blessés et les malades ».
L'article du New York Times, lui, ne parle pas de petites sommes mais de dizaines de millions de dollars livrés depuis des années dans des valises, des sacs à dos ou même des sacs en plastique. Une manne appelée sur place « argent fantôme », selon un ancien chef de cabinet du président.
Cet argent devait servir à assoir l'influence de la CIA au palais présidentiel, dans un pays très centralisé comme l'Afghanistan. Mais plus la date du départ des Américains et de la coalition approche, plus l'hostilité du président Karzaï envers ses alliés américains augmente, peut-être pour se racheter une popularité auprès des Afghans.
À en croire des officiels américains, l'argent livré par la CIA aurait plutôt nourri la corruption qui empoisonne le pays, et accru l'influence des seigneurs de guerre locaux souvent liés au trafic de drogue, et parfois aux talibans.
Bref, à en croire le New York Times, les Américains auraient eux-mêmes nourri ceux qu'ils combattent depuis des années.

Sunday 14 April 2013













Les Mousgoum sont des peuple d'Afrique centrale et occidentale. Riverains du Moyen-Logone, ils sont surtout présents dans les plaines du nord-Cameroun et au sud-ouest du Tchad, également dans l'est du Nigeria. Leur architecture traditionnelle a été très étudiée.

ethnonymie

Leur ethnonyme tire son origine du village de Mousgoum.
Selon les sources, on rencontre de multiples variantes de l'ethnonyme : Mouloui, Mousgoums, Mousgoun, Mousgou, Mouskoun, Mulwi, Mumwi, Munjuk, Musgo, Musgum, Musgums, Musgun, Musgu, Musgus,
Musseku, Mussug, Musuk, Muzgu, Muzuk

langue
 Ils parlent une langue tchadique, le mousgoum. Le nombre total de locuteurs a été estimé à 85 900, dont 61 500 pour le Cameroun (1982) et 24 400 pour le Tchad (recensement de 1993).

 En forme d'obus, le tòlék est la case typique des Mousgoum. L'une d'entre elles a été reconstituée à Paris lors de l'Exposition coloniale internationale de 1931.

by Ali babamahamat valamdou

Les chemins de l’école – contre vents et marées Alfred Yaghobzadeh/Sipa, India - Avec plus de 14 millions d’habitants, Calcutta est la troisième ville la plus peuplée d’Inde. Du fait de sa croissance exponentielle, elle est confrontée aux problèmes symptomatiques des pays en développement : pollution, congestion du trafic routier, pauvreté et surpopulation. Dans le sud de la ville, la Model School permet aux enfants démunis des quartiers de Kalighat et de Lock Gate d’être scolarisés Pour se rendre à l’école, certains enfants n’ont que quelques pas à faire, tandis que d’autres doivent braver des déserts, des rivières, des étendues gelées ou des quartiers urbains dangereux. Chaque jour, afin de recevoir une éducation, des enfants du monde entier prennent le chemin de l’école. Ils parcourent de longues distances à pied, en bus, en bateau, à vélo, en pousse-pousse, en traîneau ou en métro. Ils bravent des déserts, des montagnes, des rivières, la neige et la glace, comme les enfants de la communauté Inupiat, à Kivalina, en Alaska (États-Unis), qui partent à l’école et rentrent dans le noir sous des températures arctiques, bravant les engelures. Les enfants chaudement vêtus marchent, mais les autres doivent courir pour se réchauffer. Fabricio Oliveira, six ans, selle son âne tous les matins pour traverser avec ses cousins, pendant plus d’une heure, des paysages désertiques en direction de la petite école du village d’Extrema, dans la région de Sertão, au Brésil. Kelly (14 ans) vient du Brésil, vit au Suriname et traverse tous les matins le fleuve Maroni en pirogue pour rejoindre son école à Maripasoula, en Guyane française. Elizabeth Atenio, six ans, vit à Kibera, le plus grand bidonville d’Afrique de l’Est situé près de Nairobi, au Kenya. Chaque jour, vêtue d’un uniforme propre, elle entreprend une marche dangereuse d’une heure pour se rendre à l’école. Selon ses professeurs, au moins 20 pour cent des camarades d’Elizabeth ont déjà été violées. Comme Amal, onze ans, d’origine libyenne, Sa’ade, neuf ans, du Nigéria, et Renaldo, 6 ans, d’origine française, ces enfants font preuve d’une étonnante détermination à se rendre à l’école. Ils prouvent qu’il est toujours possible de recevoir une éducation malgré les obstacles liés à la pauvreté, à l’inégalité entre les sexes, à l’exclusion sociale, à l’insécurité urbaine, aux catastrophes naturelles ou aux conflits. Chaque image raconte une histoire Les histoires inspirantes ci-dessus ainsi que d’autres sont illustrées dans Les chemins de l’école, une exposition photographique ouverte à l’Organisation des Nations Unies, à New York, par Irina Bokova, Directrice générale de l’UNESCO, en présence de Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies. L’exposition est le résultat d’une collaboration unique entre l’UNESCO, TRANSDEV et Sipa Press, qui ont chargé 18 photojournalistes de documenter les chemins de l’école à travers le monde. Une publication contenant les mêmes photos est également disponible en anglais et en français. « Je vois chacun de ces enfants comme une source d’inspiration pour les activités de l’UNESCO en faveur de l’éducation de qualité pour tous », a déclaré Irina Bokova. « Ces chemins sont un argument puissant pour faire de l’éducation une priorité de l’agenda du développement international dans les années à venir ». Replacer l’éducation en tête de l’agenda mondial du développement est précisément l’objectif de l’initiative mondiale du Secrétaire général des Nations Unies « L'éducation avant tout ». Bien que l’accès à l’éducation se soit amélioré ces dernières années, les citoyens pauvres et marginalisés dans le monde sont toujours privés d’éducation en raison de leur pauvreté, de leur appartenance ethnique, de leur lieu d’habitation, de leur sexe et parfois d’une combinaison de tous ces éléments. Les photos de l’exposition et de la publication « Les chemins de l’école » nous rappellent qu’il est impératif de faire en sorte que les enfants du monde entier, notamment les plus isolés, puissent aller à l’école. Après New York, l’exposition voyagera pendant trois ans, jusqu’en 2015. Avant de poursuivre son tour du monde, elle sera visible à l’UNESCO à Paris du 3 avril au 3 mai 2013. Les chemins de l’école – contre vents et marées Alfred Yaghobzadeh/Sipa, India - Avec plus de 14 millions d’habitants, Calcutta est la troisième ville la plus peuplée d’Inde. Du fait de sa croissance exponentielle, elle est confrontée aux problèmes symptomatiques des pays en développement : pollution, congestion du trafic routier, pauvreté et surpopulation. Dans le sud de la ville, la Model School permet aux enfants démunis des quartiers de Kalighat et de Lock Gate d’être scolarisés Pour se rendre à l’école, certains enfants n’ont que quelques pas à faire, tandis que d’autres doivent braver des déserts, des rivières, des étendues gelées ou des quartiers urbains dangereux. Chaque jour, afin de recevoir une éducation, des enfants du monde entier prennent le chemin de l’école. Ils parcourent de longues distances à pied, en bus, en bateau, à vélo, en pousse-pousse, en traîneau ou en métro. Ils bravent des déserts, des montagnes, des rivières, la neige et la glace, comme les enfants de la communauté Inupiat, à Kivalina, en Alaska (États-Unis), qui partent à l’école et rentrent dans le noir sous des températures arctiques, bravant les engelures. Les enfants chaudement vêtus marchent, mais les autres doivent courir pour se réchauffer. Fabricio Oliveira, six ans, selle son âne tous les matins pour traverser avec ses cousins, pendant plus d’une heure, des paysages désertiques en direction de la petite école du village d’Extrema, dans la région de Sertão, au Brésil. Kelly (14 ans) vient du Brésil, vit au Suriname et traverse tous les matins le fleuve Maroni en pirogue pour rejoindre son école à Maripasoula, en Guyane française. Elizabeth Atenio, six ans, vit à Kibera, le plus grand bidonville d’Afrique de l’Est situé près de Nairobi, au Kenya. Chaque jour, vêtue d’un uniforme propre, elle entreprend une marche dangereuse d’une heure pour se rendre à l’école. Selon ses professeurs, au moins 20 pour cent des camarades d’Elizabeth ont déjà été violées. Comme Amal, onze ans, d’origine libyenne, Sa’ade, neuf ans, du Nigéria, et Renaldo, 6 ans, d’origine française, ces enfants font preuve d’une étonnante détermination à se rendre à l’école. Ils prouvent qu’il est toujours possible de recevoir une éducation malgré les obstacles liés à la pauvreté, à l’inégalité entre les sexes, à l’exclusion sociale, à l’insécurité urbaine, aux catastrophes naturelles ou aux conflits. Chaque image raconte une histoire Les histoires inspirantes ci-dessus ainsi que d’autres sont illustrées dans Les chemins de l’école, une exposition photographique ouverte à l’Organisation des Nations Unies, à New York, par Irina Bokova, Directrice générale de l’UNESCO, en présence de Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies. L’exposition est le résultat d’une collaboration unique entre l’UNESCO, TRANSDEV et Sipa Press, qui ont chargé 18 photojournalistes de documenter les chemins de l’école à travers le monde. Une publication contenant les mêmes photos est également disponible en anglais et en français. « Je vois chacun de ces enfants comme une source d’inspiration pour les activités de l’UNESCO en faveur de l’éducation de qualité pour tous », a déclaré Irina Bokova. « Ces chemins sont un argument puissant pour faire de l’éducation une priorité de l’agenda du développement international dans les années à venir ». Replacer l’éducation en tête de l’agenda mondial du développement est précisément l’objectif de l’initiative mondiale du Secrétaire général des Nations Unies « L'éducation avant tout ». Bien que l’accès à l’éducation se soit amélioré ces dernières années, les citoyens pauvres et marginalisés dans le monde sont toujours privés d’éducation en raison de leur pauvreté, de leur appartenance ethnique, de leur lieu d’habitation, de leur sexe et parfois d’une combinaison de tous ces éléments. Les photos de l’exposition et de la publication « Les chemins de l’école » nous rappellent qu’il est impératif de faire en sorte que les enfants du monde entier, notamment les plus isolés, puissent aller à l’école. Après New York, l’exposition voyagera pendant trois ans, jusqu’en 2015. Avant de poursuivre son tour du monde, elle sera visible à l’UNESCO à Paris du 3 avril au 3 mai 2013.